Qui ?
- Benjamin, 17 ans, 1ère année médecine à Tours
- Chloé, 19 ans, 1ère année fac de sport à St Brieuc
- Jean-Baptiste, 18 ans, 1ère année Psychoprat à Paris
- Lucas, 18 ans, Prépa arts graphiques à Paris
- Pierre-Emmanuel, 19 ans, 1ère année médecine à Angers
- Simon, 20 ans, 2ème année médecine à Tours
- Thaïs, 19 ans, 1ère année médecine à Angers
- Anne-Marie, 35 ans, enseignante à Chartres
Le Père Jean-Yves Lhomme avec le groupe de 8 auquel se sont joints Agnès et son fils Tristan
Pourquoi ?
A la demande de deux jeunes au départ, issus du MEJ (Mouvement Eucharistique des Jeunes), le groupe s’est étoffé au fil de l’année, jusqu’à former un juste équilibre entre chrétiens engagés, chrétiens de tradition familiale et non chrétiens.
Désir de vivre une expérience de solidarité, de partage, de service, de découvrir une autre culture, de vivre une expérience de groupe...
Débroussaillage & Terrassement
Transport et tri des moellons
Quoi ?
- Porter des sacs de sable (jusqu'à 600 kg chacun par jour!) nécessaires à la fabrication des parpaings.
- Pelleter et brouetter de la terre sur le chantier de l’hôpital.
- Trier et ranger des moellons nécessaires à la construction des soubassements des bâtiments.
- Ranger et trier du carrelage pour l’hôpital.
- Ratisser le sol pour la préparation des rizières qui permettront à l’hôpital d’être autonome.
- Rencontrer et partager des moments de travail intense avec les ouvriers malgaches du chantier.
- Jouer avec les enfants des ouvriers vivant sur le site de l’hôpital (cerfs volants)
- Partager des temps de discussion avec le père Jean-Yves Lhomme.
- Rencontrer, parler avec des malgaches de Mananjary.
Récupération du sable de rivière et transport en barque...
... à dos d'homme ...
... puis par camion jusqu'au chantier
Activité cerfs-volants
Au retour ?
Quelques mots, sûrement insuffisants tellement l’aventure humaine vécue fut complexe et riche…
- Un temps de service (une goutte d’eau dans l’océan!) où les rôles “habituels” étaient inversés (les Européens étaient au service des Malgaches)
- Le paradoxe entre des paysages magnifiques, une végétation dense et vivante et une pauvreté marquante, interpellante, qui ne peut laisser indifférent.
- Des relations difficiles à établir avec les Malgaches à cause de la complexité de l’Histoire et du décalage culturel…
Bref, une vraie leçon de vie, avec ses richesses, ses difficultés et ses questionnements…
Anne-Marie